Par ordre de préférence:
-L'at Frontière: Les trois mondes. Déjà j'avais un bon plan de base, et une idée qui me plaisait (avec un mort dès le départ, ça plaît toujours) j'ai écris cette nouvelle à chaque fois que je sortais: plage, chez des amis à ma mère, au kiné, en attente chez le médecin... Elle fait 15 pages, 7k mots Je voulais faire quelque chose de court, mais je me suis vite rendue compte qu'elle ne pourrait pas être courte. J'avais trop de chose à dire, trop de chose à développer. J'ai essayé pour cette nouvelle (comme pour d'autre, vous le verrez par la suite) de mettre différents points de vues. Trois personnages de peuple et monde totalement différents, qui partagent tous un point commun: la frontière. J'ai beaucoup aimé ce travail, et c'était assez dur de s'y retrouver entre celui qui a des tentacule, l'autre des ailes, l'autres trois yeux etc... D'ailleurs, je vais avoir un sacré boulot à ce niveau en correction. Respecter le caractère, et le montrer en une nouvelle était aussi assez compliqué. J’espère y être arrivé. Je me suis appliquée dans mon écriture,j'ai pris mon temps, mais comme je le disais, je devrais être très attentive aux corrections puisque je dois éviter ce genre de problème (en plus de la chronologie).
-L'at Promenons-nous dans les bois: la fôret . Une nouvelle courte (3 pages), sur différent point de vue, toujours avec des morts et une pointe de fantastique. J'aime bien mon idée de base, mais j'aurais peut-être dû plus développer les deux autres personnages (y'en a trois encore une fois) qui apparaissent moins d'une page... surtout la petite fille, donc l'histoire est trèès courte. Mais je voulais en premier lieu faire une nouvelle courte, donc voilà et puis la petite fille me saoûlait (j'aime pas les gosses). Mon explications de fin mérite d'être revu je pense, je la trouve pas très jolie, mais après je me trompe peut-être. J'ai déjà fais une correction antidote et globale d'ailleurs.
-l'At Echo et Damnation: Mourir. (titre provisoire) une nouvelle courte aussi (2.7k) 5 pages. C'est une nouvelle défouloir où mon perso en bave. J'ai dû abréger un peu pour pas qu'elle soit trop longue (la limite de caractère est pas grande pour cet AT) et donc n'ai pas pû mettre toute les tortures voulus (four, couteaux...) J'ai voulu faire ressentir les sentiments, les hallucinations, comme si on y était vraiment, et c'était dur. En plus, étrangement, il m'a fallut du temps pour me mettre moi même dans l'ambiance. Moi mettre du temps pour entrer dans du gore? ça doit être à cause des vacances... Je vais avoir pas mal de correction à faire sur cette nouvelle écrite, "à la va vite". Je l'ai écris sur le coup, sans faire attention à mes mots, mes phrases, donc bonjour les répétitions et oubli de mot voir phrase... J'aime cependant plutôt bien mon passage où il meurt, parce que là, j'y ai mis mon cœur, vraiment. Je voulais un truc réaliste.
-l'At 4 histoire de sous le lit : Cage dorée. Une nouvelle de 2.8k. Pas bien longue. Je voulais quelque chose de réaliste, et en même temps de fantastique. Voilà donc d'où es sortit la porte sous un lit qui mène à un vrai paradis (plage, vêtement gratuits, hôtel, nourriture, sans personne) bref le rêve. Emilie va donc en parler à ses amis, et vont tous commencer à sécher les cours pour aller dans ce paradis. Mais Emilie se rend compte que c'est pas la vraie vie (etc...), ce qui va se finir en une séparation des amis qui restent sur le paradis et d'Emilie, qui continue de "vivre". Raconter une histoire réaliste, avec les sentiments,
En cours d'écriture:
-L'at 4 histoire de sous le lit: Photos. Une romance. La première fois que j'écris une romance (elle n'est pas finis). La fin est assez triste(j'aime les fin tristes en ce moment), mais les actions me plaisent quand même à écrire. Des petits moments sympas. Bon, c'est compliqué d'écrire un passage où il y a deux Nathalie, une vielle, et une jeune. Je vais avoir pas mal de correction, quand je l'aurais finis. Je prends un peu de temps à l'écrire parce que je m'arrête à chaque fois que j'ai envie de tout faire valser et tomber dans le glauque (on y arrive plus vite que vous croyez), et je reprends quand je suis plus calme.
