Je vais donc le remplacé par un hommage en poèmes que j'ai écris durant la maladie de Doudou. Un long post. Un hommage en or pour un amour, un vrai Doudou...
Malade depuis le 14 décembre, avec une conjonctivite et une perte de poids importante, on est allée deux fois chez le vétos pour des traitements. Mais voilà ça n'a pas suffit.
(Ces poèmes suivent l'avancé de la maladie...)
Tu vivras.
3 semaine que tu
souffres
2 fois on a failli te
perdre
500g tu as perdu en
un clignement
Des chiffres, des
chiffres
La plupart s’en
foutent de toi
Ils te remplaceront
mais pour moi,
Tu es plus que des
chiffres
Tu respires, tu vis
Et tu te bas
Alors je me batterais
avec toi pour que tu t’en sort
Un cobaye est aussi
une source de joie, de peine et d’amour
3 ans de bonheur avec
toi
Et ça continuera
Nous n’abbandonnerons
pas
Tu vivras.
Ne meurs pas
J’ai peur je m’inquiètes
Un nouveau traitement
depuis deux jours
Seul tes yeux s’améliorent
Tu ne bouges pas, tu
n’y arrive pas
Tes pattes sont
molles
J’ai vraiment cru que
tu ne t’en sortirais pas
Mais si. Tu te bas
J’ia confiance
Je garde espoir,
Ne meurs pas, je suis
là
Je t’aime
Je te soigne
Je t’aime
S’il te plait
Ne meurs pas
C'est fini.
3 années de pur bonheur passé avec toi.
Je m’en rappelle encore,
Je t’ai vu sur un site et j’ai craqué.
Quand nous t’avons pris, tu ne cessais de couiner
Un bavard, j’en étais sûre.
Tu réclame la seringue et la tête avec avidité
J’ai dû en acheter beaucoup !
Combien de fois t’es-tu enfui de la cage pour gambader ?!
Une fois tu t’es même retrouvé dans la cuisine en face de
Debbie
Tu n’a pas froid aux yeux…
Tu n’avais pas froid aux yeux.
Tu étais bavard, gourmand, cascadeur et calin.
Un amour
Et puis le 14 décembre, les ennuis ont commencé.
Tu étais bagarreur, tu a faillis y passer de nombreuse fois !
Mais jamais je n’aurais pensé qu’une maladie t’aurais
Une simple conjonctivite suivie d’un rhume à première vue…
En une semaine tu as perdu la moitié de ton poids.
Deux fois tu m’as fais peur.
Deux fois durant cette période tu t’es mis à tourner sur
toi-même, à agoniser.
Deux fois tu t’en es remis.
Le traitement ne suffisait pas
Je te gavais, tu ne bougeais presque plus
Mais tu te battais.
Tu as toujours été fort, courageux
Tu mangeais ! Autant que tu pouvais !
Mais les grammes ne
bougeaient pas
Un autre rendez-vous,
le 9 janvier s’impose.
Un autre traitement
De nombreuse seringues
Tant mieux ! Tu les adore !
Mais la diarhée arrive
Et ton poids chute encore
Et aujourd’hui, le 13 janvier, un texto
Ma mère, à midi 20
« Doudou est en train de mourir ».
Je ne l’ai pas cru. Tu nous avais fait le coup deux fois !
En réalité, j’espérais.
Mais une fois à la maison, j’ai vu ton corps, sans vie.
J’ai pleuré
Je pleure encore
Tu as eu une belle vie ici
Du moins je l’éspère
Tu vas me manquer
Tes évasions, ton gout des seringues
Tes petits couinements
Oui, tu vas me manquer
Mais tu t’es battu. Tu as essayé jusqu’à la fin
Et j’en suis fière.
Tu as toujours était courageux.
Vie en paix mon Doudou.
Mes condoléances.
RépondreSupprimerMerci de partager qui était Doudou avec nous... il semblait adorable.
Merci Cathou.
RépondreSupprimerOui, c'était un cobaye en or. J'essaye de ne pas trop m'en faire, j'en ai 4 autre qui sont des anges (ou plutôt diablotins), même si ça ne le remplacera jamais.