Time-récap 3 + extrait.

Bon bon bon.

Il est l'heure d'un récap:
Correction: 45 690 mots, ce qui se traduit par 14 chapitre totalement corrigé et jusqu'au 20eme en correction antidote.

Ecriture: 12 139 mots. Ce qui représente trois nouvelles écrites et un morceau d'Histoire de Fou/

Maintenant, mes interrogations:
Déjà, je suis sur l'écriture d'Histoire de Fou. J'ai un problème: L'histoire ne m'emballe plus vraiment, je ne sais pas pourquoi. Ensuite, j'ai envie de me lancer dans un roman. Une histoire qui n'a ni univers, ni actions principales ni même personnages encore. Mais j'ai envie de me lancer dans un roman, avec les quelques idées en vrac que j'ai envie.
MAIS! Je m'oblige à finir Histoire de Fou avant tout autre projet. Et puis j'avais prévu Vivre dans un tel monde après... pour la finir quoi. Mais mes idées ne sont jamais en accord avec mes plans.Et plus j'y pense, plus j'ai envie d'écrire un roman.
En fait, j'aimerais bien créer quelque chose où tout est sous l'eau, ou quelqu'un qui a perdu la mémoire, ou un handicapé... Peut-être faire un truc fantastique ou la personne va devoir faire je ne sais quoi dans un autre monde. Ou une guerre...
Bref, je ne sais absolument pas.
Une chose est sûre: Je vais m'OBLIGER à finir Histoire de Fou avant et a faire un PLAN du roman et suivre les instructions que j'ai dans des bouquins d'écriture. Parce que en pleine correction du joyau d'Iris, c'est assez... bazardeux/confus/compliqué (rayez la mention satisfaisante)

Bref bref bref, voilà un extrait de Histoire de Fou:

Un jeune homme à la peau trop blanche et aux cheveux trop noirs tapotait, assis sur son lit, le matelas du doigt, un casque sur les oreilles. Il cessa de gesticuler en la voyant et fronça les sourcils, puis retira ses écouteurs:

—Hmm... bonjour.

—Bonjour.

«T'as une touche mon pote!

«Arrête de déconner, elle va le buter ça se trouve.

«Je suis d'accord. Elle doit faire partie des gardes. Si tu veux mon conseil

«Donne moi un croissant.»

«Mais non! Cours très vite mon ga, et ne te retourne pas. «

«Vos gueules! Tonna Benoit meentalement.

—Qui êtes-vous? Demanda-t-il, une fois le calme revenue dans sa tête.

—Machiko Niakassa du quartier 5.

Elle lui tendit sa main, qu'il scruta et serra.

—Connais pas.

—Normal, je ne fais pas de grabuge, moi, enfin discrètement. Sourit la femme blonde.

—Qu'es-ce que vous me voulez?

Cet homme était franc et ne connaissait visiblement pas le sens du mot «tact».

—Vous devez connaître les trois jeunes qui ont tenu tête au Colosse.

—Oui, j'en ai entendu parler.

—Nous avons décidé de continuer la rébellion.

—Vous n'êtes pas au courant du meurtre?

—Si. Nous voulons mettre au courant toute la population qu'il faut être sans cesse accompagné. Comme ça, les agents ne pourront tuer personne et notre révolution continuera.

—Pourquoi avez-vous besoin de moi?

—Nous avons besoin de représentant dans d'autre quartier. On a appris votre existence et le fait que vous ayez refuser de vous soumettre à l'autorité médicale...

—Autorité médical... c'est vite dit.

—Vous avez dit non à la maladie. C'est un grand pas. Argumenta la femme. Nous avons besoin de vous pour que la rebellion fonctionne.

—Et pourquoi es-ce une femme sainte et non ces trois fauteurs de troubles qui viennent me demander mon aide?

«J'te dis elle veux te pécho!»

«Mon croissant! Où est-il?!»

«Fais attention, elle veut t'embrouiller.»

«Embrouiller, n'es-tu point fou? Une lueur brille en cette femelle.»

«Une lueur? Interrogea Benoit, intrigué.»

«La même que toi.»

«Mon croissant! »

« Tu ne te crois pas fou. Elle non plus. Tu souhaite revoir ce monde, qui t'a enfemé pour lui rendre des comptes. Elle aussi.

Benoit scruta longuement la dame, qui enroulait une boucle autour de son index, mal à l'aise.